14 septembre 2010

fais de moi ton peuple entier / invente une langue pour me nommer (yann perreau)

parce que je n'ai rien de bien bien excitant à raconter (outre le fait que je serai à barcelone du 24 au 28 septembre!), & parce que je ne pars pour l'angleterre que dans six jours et que je ne sais toujours pas ce qui mérite de se retrouver dans mes bagages des neuf prochains mois, je vais plutôt laisser la place à xavier, oui, oui, xavier, de l'auberge espagnole:

«« quand on arrive dans une ville, on voit des rues en perspective. des suites de bâtiments vides de sens. tout est inconnu, vierge. voilà, plus tard, on aura marché dans ces rues, on aura été au bout des perspectives, on aura connu ces bâtiments, on aura vécu des histoires avec des gens. quand on aura vécu dans cette ville, cette rue on l'aura prise dix, vingt, mille fois. au bout d'un temps, cela nous appartient parce qu'on y a vécu. »»

1 commentaire:

Geneviève a dit...

J'aime! Mais je t'aime plus, toi!
g. xx
(Cool, ça marche, je savais pas si ça fonctionnait aussi, les commentaires, pour les non-blogueurs!)